ASSADOUR. Invité d’honneur - Biennale Internationale de la Gravure de SARCELLES.

Du 25 novembre au 10 décembre 2023 - Village de la Gravure - Sarcelles - France.

  • ASSADOUR. Gravure en couleurs. Biennale de Sarcelles 2023.

    Sans titre. Gravure originale sur papier. Signée, datée et numérotée par l’artiste. © Assadour. Courtesy Galerie Claude Lemand, Paris.

Biennale Internationale de la Gravure de Sarcelles, 95200 Sarcelles.

Invité d’hon­neur : ASSADOUR.

Peintre et gra­veur liba­nais et fran­çais, né au Liban en 1943 et initié au dessin à Beyrouth, Assadour Bezdikian, dit Assadour, a pour­suivi sa for­ma­tion à l’Ecole des Beaux-arts de Paris, dans l’ate­lier de Lucien Coutaud. Son œuvre fait partie aujourd’hui de col­lec­tions publi­ques et pri­vées en France et à l’inter­na­tio­nal. Assadour est avant tout un gra­veur : « Quand je grave, j’exprime un côté ana­ly­ti­que de mon tem­pé­ra­ment, je dis­sè­que l’image et, avec elle, la pensée. Je suis comme un chi­rur­gien. »

ASSADOUR fait sa pre­mière expo­si­tion à Beyrouth, en mars 1964, l’année même où il s’ins­talle à Paris et s’ins­crit à l’Ecole natio­nale supé­rieure des Beaux-arts. Sa pein­ture s’ins­crit d’abord dans un cadre armé­nien : rhé­to­ri­que et sym­bo­li­que du pay­sage inté­rieur, de sa déso­la­tion et de sa prise en charge, dans une dou­leur figée et répé­ti­tive, que sou­tient une vir­tuo­sité tech­ni­que deve­nue le néces­saire corol­laire de l’expres­sion.

Il semble ne parler que de pay­sa­ges déser­ti­ques et de mondes désar­ti­cu­lés, mais de façon si pré­cise, méti­cu­leuse et à la limite de la lisi­bi­lité qui peut tou­cher le grand public, qu’il n’y joue plus de faci­li­tés de thèmes ou de varia­tions thé­ma­ti­ques, mais du mon­tage d’un monde inté­rieur, à partir d’éléments pic­tu­raux pro­gres­si­ve­ment mis en place.

Copyright © Galerie Claude Lemand 2012.

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